terça-feira, 22 de fevereiro de 2011

Pascal e as três petições


§545-458  Tout ce qui est au monde est concupiscence de la chair ou concupiscence des yeux ou orgueil de la vie. Libido sentiendi, libido sciendi, libido dominandi. Malheureuse la terre de malédiction que ces trois fleuves de feu embrasent plutôt qu'ils n'arrosent. Heureux ceux qui étant sur ces fleuves, non pas plongés, non pas entraînés, mais immobilement affermis sur ces fleuves, non pas debout, mais assis, dans une assiette basse et sûre, d'où ils ne se relèvent pas avant la lumière, mais après s'y être reposés en paix, tendent la main à celui qui les doit élever pour les faire tenir debout et fermes dans les porches de la sainte Jérusalem, où l'orgueil ne pourra plus les combattre et les abattre; et qui cependant pleurent, non pas de voir écouler toutes les choses périssables que ces torrents entraînent, mais dans le souvenir de leur chère patrie de la Jérusalem céleste, dont ils se souviennent sans cesse dans la longueur de leur exil.

À procura de semelhanças e diferenças com a tri-partição da alma feita por Platão.





2 comentários:

  1. Gostei muito do tom crítico, por vezes irónico, que vi por aqui. Visitarei mais vezes! Bj, Luísa

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  2. Obrigado Luísa!
    Já introduzi aquela "aplicação" que me sugeriu dos "seguidores".

    Beijinhos e até breve!
    Wilson

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